Blog – Left Sidebar

Fluor et thyroïde

by 27 mai 2020

Le fluor fut pour la première fois mentionné au 16e siècle par Basile Valentin puis décrit par Georgius Agricola en 1530 sous sa forme de fluorine tant que substance permettant la fusion des métaux ou des minéraux. Le nom fluor vient du latin fluere, qui signifie flux ou fondant.

Le fluor est présent naturellement dans la croûte terrestre où on peut le trouver dans les roches, le charbon et l’argile. De ce fait, l’être humain est exposé (faiblement) au fluor par l’intermédiaire de la nourriture, de l’eau qu’il boit et de l’air qu’il respire.

La thèse officielle justifiant l’utilisation du fluor

La thèse officielle repose que le fait que le fluor est un oligo-élément qui se fixe dans l’émail des dents et les rend beaucoup plus résistantes aux attaques des bactéries de la plaque dentaire, du moins en théorie. Il agirait en se fixant sur l’émail des dents : l’ion hydroxyde de l’hydroxy-apatite Ca5(PO4)3(OH) qui constitue l’émail des dents est partiellement remplacé par des ions fluorures pour donner de la fluro apatite Ca5(PO4)3(F). L’ion fluorure étant une base plus faible que l’hydroxyde, l’émail devient plus résistant à l’acide qui se libère localement dans le milieu buccal après un repas. Le fluor est donc très utilisé dans les dentifrices sous prétexte qu’il renforcerait l’émail… C’est peut-être vrai à moins de 1mg/jour.

L’action du fluor renforcerait aussi la fixation du calcium et du phosphore dans le tissu osseux. Il interviendrait également dans la tonicité des ligaments. Un apport journalier aux doses recommandées permettrait de se protéger contre l’ostéoporose…

Le fluor, en tant que tel n’a aucun rôle métabolique connu chez les animaux ou l’être humain. C’est l’ion fluorure, sous la forme de fluorure de sodium, qui peut présenter un intérêt sur l’organisme : des fluorures sont parfois ajoutés au sel de ménage mais aussi aux dentifrices ou dans certaines sources d’eau.

La dose quotidienne recommandée par des personnes très intelligentes et très instruites (!) est de 2 à 4 mg pour les adultes, 0,5 mg pour une enfant entre 3 et 6 ans et 0,25 mg pour un enfant de moins de 3 ans.

Les carences sont rares. Au-delà des ces seuils, une surconsommation de fluor (supérieur à 4 mg/jour et même parfois supérieur à 2ml/jour selon les sources d’information) peut devenir toxique (fluorose) : l’apparition de tâches pigmentées sur l’émail, surtout si elles sont brunâtres et nombreuses, signe une fluorose sévère et nécessite une consultation chez le médecin. En cas d’overdose de fluor, une fluorose du squelette (10 à 40 mg/jour), un retard de croissance (pour 100 mg de fluor/jour) voir une surdose rénale (125 mg /jour) sont possibles.

Dans les faits

Une fois la thèse officielle évoquée, il s’avère cependant qu’en réalité le Fluor est considéré comme un perturbateur endocrinien avéré par plusieurs scientifiques. Notamment, la biologiste Barbara Demeneix, qui indique que le Fluor interfère avec l’iode, essentielle au bon fonctionnement de la thyroïde par exemple. Le Fluor empêche également la fixation de minéraux essentiels pour l’organisme comme le Magnésium, le Calcium et la Vitamine C.

Comme toujours, c’est le dépassement d’un certain seuil qui peut conduire à une pollution du corps et à des effets inquiétants sur la thyroïde (*) notamment.

La conclusion d’une recherche parue le 23 février 2015 dans le Journal of Epidemiology and Community Health et publiée par le British Medical Journal montre que l’ajout de fluorure dans l’eau du robinet est lié à un taux significativement plus élevé d’une maladie de la glande thyroïde. Les chercheurs de l’Université du Kent ont étudié la clientèle de 7 935 médecins de famille d’Angleterre. Les médecins de famille anglais qui participent au régime de santé public sont incités financièrement à vérifier le fonctionnement de la glande thyroïde. Environ 10% de la population britannique est desservie par un réseau d’aqueduc dans lequel du fluor a été ajouté à l’eau potable. Il y a donc une masse de données propice à l’analyse de type épidémiologique. Résultat: la probabilité que la clientèle d’un médecin souffre d’un taux élevé d’hypothyroïdie augmente de 40% à 60% selon la teneur en fluorure de l’eau. L’étude est téléchargeable sur ce lien. Le fluor est un des facteurs qui diminuent la transformation de l’hormone T4 en T3 et/ou qui favorisent la formation de R-T3 au détriment de la T3.

Une réglementation du taux de fluor dans l’eau existe dans de nombreux pays. La fluoration de l’eau prend différentes formes. Les plus utilisées étant l’hexafluorosilicate de sodium et l’acide hexafluorosilicique mais leurs utilisations dans l’eau du robinet sont parfois difficiles à obtenir. Par le passé, l’eau du robinet était volontairement très fluorée (max 1,5mg/L). Aujourd’hui ce taux a changé. Le fluor et le chlore sont toujours présents dans l’eau courante, ajoutés par les autorités officiellement pour « nous protéger ». Le chlore est ajouté en tant qu’agent anti-bactérien et le fluor, sous la forme de fluorine, est ajouté pour protéger nos dents.

En outre, on peut trouver du fluor dans beaucoup de produits : les dentifrices, certaines eaux minérales (Vichy), le thé, la bière, le vin, les épinards, le persil, le pissenlit, les graines de tournesol germées, le poisson, les fruits de mer, les algues, les abats, les céréales complètes, la carotte, le chou et l’abricot en sont les principales sources. L’eau minérale en bouteille peut également contenir du fluor. Attention, les thés/infusions non Bio peuvent également contenir jusqu’à 8mg/L de Fluor.

Le risque d’intoxication chez les enfants reste plus élevé du fait de la présence souvent importante du fluor dans les dentifrices : il convient notamment de bien expliquer aux enfants qu’ils doivent recracher le dentifrice. Notons qu’il existe de très bons dentifrices sans fluor comme le Kerala Nature Meswak ou le Xyliwhite.

La fluoration du sel (sous la forme de fluorure de potassium) est, quant à elle, plus claire, celle-ci devant être étiquetée, en mentionnant sel fluoré ou sel iodé et fluoré : le sel est supplémenté en fluor à raison de 250 mg/kg. Depuis 1993, une réglementation impose l’usage de sel fluoré dans les cantines scolaires françaises. Les emballages doivent également alerter le consommateur par la mention : « ne pas consommer si l’eau de boisson contient plus de 0,5 mg/litre de fluor ».

Sachez aussi que le Fluorure de sodium est connu depuis longtemps en tant que répressif majeur des fonctions intellectuelles. Le fluor est aussi un ingrédient de base commun aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques ainsi qu’aux gaz neurotoxiques. En particulier, c’est l’un des composants du Prozac et du gaz Sarin. Le fluor provoquerait à la longue des troubles mentaux variés rendant les gens dociles et serviles. Il diminuerait la longévité et endommagerait la structure osseuse. Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche. Les florines sont des polluants que l’industrie chimique rejette parfois dans les rivières. Pour en savoir plus, consultez l’article de Michel Dogna.

Potentiellement, on peut donc être en excès d’apport en fluor journalier. 

Vue devant et derrière de la thyroide

Conséquences sur la thyroïde

Selon le Harvard Women’s Health Watch, une femme sur 10 de plus de 50 ans fait de l’hypothyroïdie ou a un taux d’hormones thyroïdiennes inadéquat. Les recherches de Ryan Drum indique que certains endocrinologues estiment à 25% la proportion de femmes adultes américaines présentant des troubles du fonctionnement de la thyroïde cliniquement détectables.

Les symptômes de l’hypothyroïdie comprennent la baisse d’énergie, une digestion paresseuse, la prise de poids ou l’impossibilité d’en perdre, une peau sèche, un cholestérol élevé, une pression sanguine faible, une peau très fine, des mains et des pieds froids, une température corporelle basse, une sensibilité au froid, l’impression d’être toujours gelé, des maux de tête, des insomnies, la dépression, des yeux gonflés, des ongles cassants, des douleurs articulaires, de la constipation, une lourdeur d’esprit, des infections fréquentes, une voix enrouée, des bourdonnements d’oreilles, des vertiges et une baisse de libido.

De nos jours, l’alimentation et l’environnement apparaissent comme les causes majeures des dysfonctionnements de la thyroïde. Les produits chimiques dans l’air et dans l’eau, les radiations atomiques, la fumée de cigarette et les pesticides, tout cela inhibe les fonctions de la thyroïde. Les modes d’alimentation basés sur des produits hautement raffinés et manufacturés, avec les déséquilibres nutritionnels qui en résultent, contribuent aussi à une fonction thyroïdienne affaiblie. Les nutriments qui sont importants pour le fonctionnement de la thyroïde sont l’iode, le sélénium, la vitamine A, la vitamine D3, la vitamine B2, la vitamine B6, la vitamine B12, les bioflavonoïdes, le zinc et le fer.

Le nutriment principal pour le fonctionnement de la thyroïde est l’iode. Sans iode, il est impossible de fabriquer les hormones thyroïdiennes, T3 et T4. Une déficience en iode peut résulter d’une consommation insuffisante d’iode et/ou de problèmes d’assimilation, d’inhibiteurs environnementaux de l’iode et de l’utilisation régulière d’eau fluorée, chlorée et bromée.

Le fluor, le chlore et le brome font tous partie de la famille chimique des halogènes tout comme l’iode. Malheureusement, ils sont tous plus réactifs, chimiquement parlant, que l’iode ce qui a pour résultat de déplacer les molécules d’iode dans le corps et provoquer ainsi des symptômes de déficience.

Prudence

Si à faible dose, le fluor peut se trouver dans le corps sans effets délétères, il s’avère qu’au delà d’un certain seuil, des effets sur la santé peuvent apparaître. L’accumulation des sources de fluor : eau du robinet, certains aliments, dentifrices, etc. fait qu’on peut se trouver en surconsommation. 

En conclusion, réduisez votre consommation d’eau du robinet ou utilisez des dispositifs filtrants efficaces, mangez bio le plus possible, évitez le gluten et choisissez bien votre marque de dentifrice.

 

(*) La thyroïde est une glande endocrine d’une trentaine de grammes, située à la base du cou devant la trachée. La thyroïde sécrète 2 hormones : la T3, qui est l’hormone active et la T4 ou thyroxine, transformée par les tissus en T3. Cette sécrétion est sous le contrôle de l’hypophyse par l’intermédiaire de la TSH (thyréostimuline). Une concentration sanguine élevée de T3 ou de T4, diminue la sécrétion de TSH et inversement (effet feed-back).

Hypothyroïdie et la thyroïdite de Hashimoto

by 27 mai 2020
Extrait du livre « Medical Medium » de Anthony William.
Les vrais problèmes de thyroïde semblent relativement récents. Les premières apparitions apparaissent à la fin du XIXe siècle avec la révolution industrielle. Jusque-là, les goitres étaient très rares et provenaient de carences nutritionnelles (iode, zinc) ou de contamination par des métaux toxiques comme le mercure.
Quand les nouvelles industries se mirent à déverser des métaux lourds dans les cours d’eau et les lacs, et que les usines se mirent à émettre des gaz délétères inconnus du corps humain, les thyroïdes furent durement touchées. En raison de leur exposition à de plus en plus d’éléments toxiques, les cas de goitres se multiplièrent.
De nos jours, les industriels délestent nos céréales, nos fruits et nos légumes de leurs nutriments et emballent nos aliments dans des boîtes de conserve contenant du plomb, le métal idéal pour fabriquer un goitre. Carencés, les consommateurs y étaient d’autant plus vulnérables.
En cas de souffrance de la thyroïde, l’organisme a tendance à réagir de manière excessive et du liquide s’accumule autour de cette glande, ce qui explique en partie la présence d’un goitre.
Au XXe siècle, avec l’arrivée en masse des virus, les femmes commencèrent à présenter des symptômes thyroïdiens bien différents des goitres. De nos jours, on qualifie ce type d’affection de « thyroïdite », autrement dit d’inflammation de la thyroïde. On parle fréquemment aux patients de maladie de Hashimoto et d’hypothyroïdie, deux maladies mystères.
Une autre vague de problèmes thyroïdiens est en train de nous submerger. Des dizaines de millions de gens, surtout des femmes, ne savent même pas qu’ils en souffrent alors même qu’ils n’arrivent plus à vivre normalement. Les patients chez qui l’on soupçonne une thyroïde défectueuse se voient prescrire des médicaments à base de thyroïde synthétique ou séchée d’origine animale et, quand cela ne suffit pas à soulager leurs symptômes, des traitements à l’iode radioactif destinés à détruire la coupable.
La thyroïde est une petite glande endocrine située dans le cou, importante pour votre santé. En effet, elle régule votre métabolisme et affecte chaque cellule de votre corps. Quand la thyroïde produit beaucoup d’hormones, elle indique aux cellules qu’elles doivent convertir du glucose en énergie destinée à la reproduction, à la réparation et à l’activité. Quand cette sécrétion hormonale ralentit, il est temps de cesser provisoirement le processus de transformation du glucose. Ainsi, l’organisme fonctionne de manière régulière. Avec le temps, toutefois, les baisses de production hormonale donnent lieu à des sortes de « pannes » dues au fait cellules ne reçoivent pas les instructions nécessaires pour se recharger en énergie. Tant que votre thyroïde fonctionne bien, vous aussi. Un léger manque d’huile dans les rouages, et votre santé s’effondre dans de multiples domaines.
L’hypothyroïdisme correspond à une sous-production d’hormones thyroïdiennes (une thyroïdite débutante, peu sévère). L’hypothyroïdie et la maladie de Hashimoto n’ont rien à voir avec les goitres d’autrefois, dus à une carence en iode et à l’accumulation de toxines dans la thyroïde. De plus, ces appellations n’expliquent pas les divers symptômes présents (fatigue, palpitations cardiaques, bouffées de chaleur confusion mentale, prise de poids, etc.).
Les communautés médicales pensent que la maladie de Hashimoto vient d’un dérèglement du système immunitaire, qui se retourne contre les cellules de la thyroïde. En réalité notre système immunitaire ne se trompe pas d’ennemi.
Anthony William annonce que plus de 95 % des problèmes de thyroïde actuels, y compris la maladie de Hashimoto, sont dus à des infections virales (les 5 % restants étant causés par des radiations). Le coupable est le virus d’Esptein-Barr (EBV). A l’issue d’une longue période d’incubation (généralement dans le foie), l’EVB migre dans la thyroïde et s’installe dans ses tissus. Avec le temps, la charge virale affaiblit la thyroïde, dont l’efficacité diminue. De plus, I’EBV y suscite également une réaction inflammatoire (hypothyroïdie ou maladie de Hashimoto). Votre corps n’est en aucun cas en train de vous trahir. En fait, votre système immunitaire se bat contre un envahisseur bien réel, faisant de son mieux pour vous protéger.
Victimes d’une confusion très répandue, les patients pensent que les médicaments s’attaquent aux sources de la maladie alors qu’ils ne traitent pas la thyroïde en elle-même. En effet, ils se contentent d’augmenter le taux d’hormones dans le système sanguin dans l’espoir de remplacer celles que l’organisme ne produit pas. Ce que l’on ne dit pas, c’est qu’il s’agit de stéroïdes légers, qui perturbent la fonction immunitaire.
Si vous prenez des médicaments pour la thyroïde et qu’ils vous font du bien, tant mieux. Ils font plus ou moins office de « rustine » face à une importante charge virale. Ce n’est que l’aspect stéroïde du médicament qui soulage vaguement des infections sans gravité amenant un léger mieux. Si toutefois vous ne vous sentez aucunement soulagé, vous comprenez maintenant qu’il est logique d’en avoir assez.
Si vous soupçonnez un problème de thyroïde, sans réelle certitude, demandez à votre médecin d’effectuer un dosage d’hormones thyroïdiennes, en particulier la TSH, les T3, les T4 et les anticorps antithyroïdiens. Bien qu’ils ne soient pas parfaits, ces tests constituent aujourd’hui la référence absolue.
Enfin, sachez bien que vous pouvez tout à fait souffrir de problèmes de thyroïde bien que vos dosages soient normaux. Nombreux sont les gens dans ce cas, surtout des femmes, à présenter les symptômes d’une légère hypothyroïdie. Il faut parfois des mois, voire des années pour qu’une affection se développe suffisamment pour être détectable. De plus, les fourchettes utilisées par les laboratoires, trop larges, laissent passer les dérèglements légers entre les mailles du filet.
Les conseils qui suivent vous aideront à protéger et à soigner votre thyroïde malade, et à renforcer les glandes endocrines qui l’assistent :
Comment soigner ses problèmes de thyroïde :
Anthony William propose des aliments, des plantes et des compléments alimentaires susceptibles de soigner une thyroïde endommagée, de renforcer les autres glandes endocrines (surrénales, hypophyse, pancréas, etc.), et de faire baisser la charge virale de la thyroïde.
Les aliments « goitrogènes» : La nouvelle mode est de diaboliser certains légumes (chou-fleur, chou frisé, brocolis, chou vert…). La rumeur voudrait qu’ils contiennent des substances « goitrogènes» (favorisant l’apparition de goitres). N’en croyez rien. Ces éléments « goitrogènes» ne sont pas assez concentrés pour vous faire le moindre mal. Il vous faudrait absorber 50 kilos de brocoli par jour pour atteindre le seuil toxique. N’hésitez donc pas à consommer avec plaisir vos crucifères favoris car ils participent au bon fonctionnement de votre thyroïde.
Les aliments qui guérissent : Les aliments les plus intéressants pour la thyroïde sont les algues, les myrtilles sauvages, la coriandre, l’ail, les graines de chanvre, l’huile de noix de coco, les noix du Brésil et les airelles. De façon variable, elles tuent les cellules d’EBV, fournissent des micronutriments, réparent les tissus thyroïdiens abîmés, limitent le développement des nodules, chassent les métaux lourds et les déchets viraux, et stimulent la production d’hormones thyroïdiennes.
Les plantes et compléments alimentaires qui guérissent :
  • Le zinc : Il tue les cellules d’EBV, renforce la thyroïde et participe à la protection du système endocrinien.
  • La spiruline : Elle fournit des nutriments indispensables à la thyroïde.
  • Le fucus : Il fournit de l’iode facile à assimiler ainsi que des oligo-éléments.
  • Le chrome : Il régule le système endocrinien.
  • La L-Tyrosine : Elle stimule la production d’hormones thyroïdiennes.
  • L’ashwagandha : Il stimule la thyroïde et les surrénales, et régule le système endocrinien.
  • La réglisse : Elle tue les cellules d’EBV présentes dans la thyroïde et soutient les surrénales.
  • L’éleuthérocoque (ou ginseng sibérien) : Elle soutient les surrénales et régule le système endocrinien.
  • La mélisse : Elle tue les cellules d’EBV présentes dans la thyroïde et ralentit le développement des nodules.
  • Le manganèse : Il est indispensable à la production de T3.
  • Le sélénium : Il stimule la production de T4.
  • La vitamine D3 : Elle régule la fonction immunitaire.
  • Les vitamines du groupe B : Elles sont indispensables à la fonction endocrinienne.
  • Le magnésium : Il stabilise le taux de T3.
  • L’EPA (acide eicosapentaénoïque) et le DHA (acide docosahexaénoïque) : Ces deux acides gras oméga-3 fortifient les fonctions nerveuse et endocrinienne. Surtout, choisissez-les de source végétale et non animale.
  • Le Bacopa monnieri : Il stimule la production d’hormones thyroïdiennes et favorise la conversion de T4 en T3.
  • Le rubidium : Il régule la production d’hormones thyroïdiennes.
  • Le cuivre : Il tue les cellules d’EBV et optimise l’efficacité de l’iode

 

En complément des conseils d’Anthony William, il convient aussi de faire attention au fluor et au gluten qui sont suspectés de favoriser les problèmes de thyroïde. En effet, la consommation de gluten (protéine trouvée dans beaucoup de céréales, particulièrement dans le blé, le seigle, l’orge, l’épeautre et le kamut) est en corrélation avec les anticorps antithyroïdiens. Si vous avez des anticorps antithyroïdiens, cela signifie que votre corps est en train d’attaquer votre glande thyroïde comme si elle était un envahisseur étranger. Si on vous a diagnostiqué une thyroïdite de Hashimoto, cela signifie que votre corps a créé des anticorps antithyroïdiens. La bonne nouvelle est que les études ont montré que chez les sujets sensibles au gluten qui ont des anticorps antithyroïdiens, ces anticorps ont toutes les chances de disparaître après 3 à 6 mois de régime sans gluten. Les recherches sur la connexion entre la thyroïde et le gluten se développent. Concernant le lien entre le fluor et la thyroïde, voir l’article à ce sujet.

Notez aussi que la glande thyroïde est également très sensible aux radiations émises par les rayons X et les scanners. Pour vous protéger, demandez toujours un écran/tablier de protection pour la thyroïde si vous avez besoin d’une radio ou d’un scan. Comme les radios dentaires sont les plus fréquemment effectuées, assurez-vous de demander à votre dentiste un écran de protection pour la thyroïde avant de les effectuer. Pour en savoir plus sur les effets des radiations sur la santé de la thyroïde, consultez l’article du Dr. Ryan Drum, « Environmental Origins of Thyroïd Disease – Part 2″ et  « Disrupting a delicate balance » par V. Brown.

L’aspirine et autres salicylates ainsi que les anticoagulants comme la « Warfarin » augmentent l’excrétion d’iode et peuvent provoquer une petite hypothyroïdie. Les PCB sont soupçonnés d’extraire la thyroxine (T4) des protéines dans le sang et d’augmenter la défaillance des hormones thyroïdiennes dans le foie.

Certains CEF, comme le Lac Danilovo et le Lac Secret, peuvent également aider à corriger des problèmes de thyroïde :

Le Lac Danilovo, au sud-est de la Grande Russie est un lieu d’exception. La particularité de ce lac est son eau pure et transparente qui, selon les études réalisées, est très active biologiquement et possède des vertus thérapeutiques. Réputée pour ses vertus curatives, l’eau du Lac Danilovo est considérée comme « bénite ». Elle régule le métabolisme de l’organisme, active ses fonctions de protection, régénère, favorise le rajeunissement. Ce CEF est préconisé dans le cas de très nombreuses pathologies telles que des maladies de la peau, de la thyroïde, des maladies oncologiques, des arthrites et des arthroses, pathologies de la colonne vertébrale etc. Le CEF « Lac Danilovo » peut favoriser :

  • Activation des mécanismes de défense et de régénération
  • Effet rajeunissant sur tout l’organisme
  • Régulation du métabolisme
  • Convalescence accélérée suite à un AVC ou un infarctus
  • Protection des yeux, prévention et correction de la myopie et des pathologies dues à l’âge
  • Protection de l’email dentaire, action anti carie
  • Développement de l’intuition et des capacités extrasensorielles
Ce CEF peut être utile en cas de maladies de la peau (ex : psoriasis), maladies de la thyroïde, arthrite, arthrose, pathologie de la colonne vertébrale, maladie oncologique (cancer du sein, cancer de la peau, cancer de la gorge, cancer de l’estomac). L’eau dynamisée à l’aide de ce CEF est un bon complément d’un traitement global.

Le CEF « Lac Secret » (ou lac caché) émet les vibrations d’un haut-lieu d’énergie. Le Lac Secret est un site d’exception, riche en légendes, réputé pour ses vertus curatives, situé au Sud-ouest de la Sibérie, dans la région d’Omsk. Ce CEF, peut favoriser :

  • Rétablissement rapide de l’équilibre énergétique et des forces physiques de l’organisme
  • Restauration des défenses immunitaires grâce à l’amélioration des fonctions de la glande thyroïde
  • Rajeunissement général de l’organisme
  • Puissance action antibactérienne
  • Assainissement général des systèmes de l’organisme
  • Prolongement de la vie active (le mieux est de l’associer au CEF « Lac Danilovo »)
  • Action bénéfique sur les animaux et les plantes : meilleure résistance aux conditions défavorables, meilleures capacités de développement Augmentation considérable du rendement des cultures et de la fécondité des animaux

Ce CEF peut-être utile en cas de maladies auto-immunes (SEP, arthrite, arthrose, rhumatisme…), maladies oncologiques (cancer, tumeur), maladies de la thyroïde (hypothyroïdie et hyperthyroïdie). Le potentiel énergétique de l’eau du lac Secret est encore plus élevé que celui du lac Danilovo. Il est conseillé d’utiliser les deux CEF ensemble. Ces articles peuvent se trouver sur des sites comme Green Nature.

Les dangers potentiels de la 5G

by 17 mai 2020

Un article très intéressant, écrit par le Dr. Maylis Poncet, est paru sur le site de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) à propos de la 5G.

On y trouve beaucoup de références sur des études menées ces dernières années sur les ondes électromagnétiques et leurs effets délétères sur le corps.

Actuellement, les normes d’exposition maximale aux ondes électromagnétiques varient énormément d’un pays à l’autre. De nombreux pays considèrent qu’il n’est pas nécessaire de réévaluer les seuils bien que de plus en plus de personnes deviennent électrosensibles. La pression industrielle est telle que de nombreux gouvernements se gardent bien d’attirer l’attention sur ce probable futur scandale sanitaire.

Dès 1994, il avait proposé de limiter à 1 V/m l’exposition du public pour la gamme des fréquences de la téléphonie mobile. La commission européenne a ignoré ces alertes et placé la barre à 41 V/m. En 2011, le Parlement Européen avait suggéré une révision des normes d’exposition collective aux champs électromagnétiques haute-fréquence.

En 2015, 220 scientifiques de 42 pays différents ont lancé un appel international à l’attention de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies, demandant la révision des valeurs limites d’exposition du public aux CEM ainsi que l’information du public et la formation des professionnels de santé sur les risques inhérents aux CEM. Leur appel n’a pas été pris en compte. Pourtant les académies de médecine environnementale européenne et américaine ont émis des demandes similaires et des recommandations à l’égard des professionnels de santé.

La 5G est une évolution technologique qui doit offrir des débits 10 fois supérieurs à la 4G avec un temps de latence 10 fois plus petit. Elle permettra de développer le monde des objets connectés, d’améliorer les transferts multimédia…

La nouvelle norme de communication 5G ne concerne pas une fréquence spécifique, mais un grand nombre de fréquences qui seront rendues disponibles progressivement, allant de 694 MHz à plus de 80 GHz en passant par des fréquences comme la bande des 23,8 GHz qui sera utilisé par les satellites et qui entre en résonance avec la fréquence de la vapeur d’eau, ou encore la bande des 60 GHz qui a des propriétés particulières d’absorption de l’oxygène.

De part sa conception technologique, la 5G prévoit un nombre très important de nouvelles antennes. Ces antennes auront des niveaux de pulsation élevées pour faire transiter un maximum d’informations. On peut donc prévoir une augmentation très significative de l’exposition aux ondes de la population, avec à la clé un développement considérable des pathologies liées à ces ondes.

Autres informations issues d’articles de recherches

Certains scientifiques se contentent d’affirmer que « ces ondes n’ont pas suffisamment d’énergie pour s’attaquer à nos cellules ou à notre ADN, contrairement aux rayons X ou aux ultraviolets (ondes ayant une fréquence – et donc une énergie – beaucoup plus élevée), qui peuvent notamment provoquer des cancers à partir d’un certain niveau d’exposition. Elles transportent d’ailleurs beaucoup moins d’énergie qu’une autre onde électromagnétique que nous connaissons bien : la lumière. ».

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) ne tranche pas la question aussi nettement : le 27 janvier, elle a publié un rapport complet d’évaluation des risques pour la santé de la 5G. Ce rapport étudie plusieurs études scientifiques existantes. Il conclut à « un manque de données scientifiques sur les effets biologiques et sanitaires potentiels liés à l’exposition aux fréquences autour de 3,5 GHz. »

De con côté, le Dr Helmut Keller de la Narda Safety Test Solutions, en Allemagne a proposé une publication dans le journal Health Physics dans laquelle il compare des outils utilisés pour comprendre l’impact des ondes de la 5G. En conclusion, il écrit que « Plusieurs méthodes d’évaluation de l’exposition humaine aux champs électromagnétiques transmis par les nouvelles stations d’ondes radio 5G ont été examinées. Il n’existe actuellement aucune méthode permettant d’extrapoler l’exposition théorique maximale. ». Autrement dit, il dit qu’il n’est pas aujourd’hui possible de prévoir les conséquences de l’exposition à la 5G.

L’ICNIRP a annoncé en mars 2020 l’innocuité de la 5G. Cette nouvelle évaluation s’est faite comme à l’habitude par simple modélisation, aucune étude sur le vivant n’ayant été réalisée sur toutes les bandes de fréquences envisagées.

Un article a été publié en mars 2020 dans le journal Molecular Oncology (spécialisé dans la recherche contre le cancer) par Lennart Hardell de l’Université d’Orebrö en Suède et Rainer Nyberg de l’université Åbo Akademi en Finlande. Les chercheurs expliquent que « le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe depuis 2011 les radiofréquences (RF) dans la gamme de fréquences 30 kHz-300 GHz comme un cancinogène humain « possible », du groupe 2B. Les preuves ont depuis été renforcées par des recherches supplémentaires ; ainsi, les radiofréquences peuvent maintenant être classées comme cancérigènes pour l’homme, groupe 1 [niveau de danger le plus élevé]. Malgré cela, ces radiations micro-ondes se développent [dans le monde] avec une augmentation de l’exposition individuelle et ambiante. L’un des facteurs contribuant à cette situation est que la majorité des pays s’appuient sur les directives formulées par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP), une organisation non gouvernementale allemande et privée. L’ICNIRP se fonde uniquement sur l’évaluation des effets thermiques (échauffement) des radiations RF, et rejette un grand nombre de publications scientifiques qui démontrent les effets néfastes des radiations non thermiques. ».

Les auteurs écrivent aussi que « La cinquième génération, la 5G, pour les rayonnements micro-ondes est sur le point d’être mise en œuvre dans le monde entier, malgré l’absence d’études approfondies sur les risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement. Dans un appel envoyé à l’Union Européenne (UE) en septembre 2017, plus de 260 scientifiques et médecins ont demandé un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu’à ce que les risques sanitaires associés à cette nouvelle technologie aient été entièrement étudiés par des scientifiques indépendants de l’industrie. L’appel [..] n’a suscité aucune réponse positive de la part de l’UE à ce jour. Malheureusement, les décideurs semblent être mal informés des risques. Les fonctionnaires de l’UE s’appuient sur les opinions des personnes au sein de la CIPRNI et du Comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux (SCENIHR), dont la plupart ont des liens avec l’industrie. Ils semblent dominer les organismes d’évaluation et réfutent les risques. Il est important que ces circonstances soient sues. »

Début mai 2020, les chercheurs Ronald N.Kostoff, Paul Heroux, Michael Aschner et AristidesTsatsakis écrivent aussi dans un article de la revue Toxicology Letters que « la plupart des expériences de laboratoire menées à ce jour n’ont pas été conçues pour identifier les effets néfastes les plus graves reflétant l’environnement opérationnel réel dans lequel les systèmes de radiations sans fil fonctionnent. De nombreuses expériences n’incluent pas la pulsation et la modulation du signal porteur. La grande majorité ne tient pas compte des effets négatifs synergiques d’autres stimuli toxiques (tels que chimiques et biologiques) agissant de concert avec les radiations sans fil […] la technologie de réseau mobile 5G naissante n’affectera pas seulement la peau et les yeux, comme on le croit généralement, mais aura également des effets systémiques néfastes. »

En conclusion, on sait depuis de nombreuses années que les ondes électromagnétiques ont des effets délétères sur le corps humain (des expériences ont été réalisées sur les rats qui ont rapidement développé des tumeurs). S’il n’est pas encore prouvé que la 5G peut avoir directement des effets sur la santé de l’homme, il s’avère qu’aujourd’hui, de plus en plus de personnes disent devenir électrosensibles. Il est donc légitime de s’inquiéter du développement de la 5G. Dans tous les cas, et quoi qu’en en pense, il est peu probable que cela ait une influence sur le déploiement prévue de cette nouvelle technologie, qui deviendra peut-être le prochain grand scandale sanitaire.

Filtre ProStop65

by 2 mai 2020

Voila un équipement qui pourra intéresser les personnes électrosensibles. Il s’agit d’un filtre qui s’installe dans le tableau électrique de votre logement.

Aujourd’hui, en plus des pollutions électromagnétiques déjà existantes (50 Hz, hyperfréquences), s’ajoute une nouvelle pollution par les Courants Porteurs en Ligne (CPL) générés par le système de communication des compteurs dits « intelligents » tels que le Linky. Ces CPL de fréquences comprises entre 35 kHz et 91 kHz sont superposés sur le courant 230 V – 50 Hz. Ces nouvelles fréquences sont 1000 fois plus élevées que la fréquence du courant domestique et ne devraient pas se retrouver sur un réseau électrique non blindé dépourvu de protection anti CPL.

Ces signaux parasites présents sur le réseau électrique perturbent les personnes électrosensibles. Ces ondes peuvent provenir de son propre compteur électrique LINKY mais aussi du compteur ou des équipements du voisin. Ces ondes sont envoyées sur tout le réseau électrique.

Le filtre PROSTOP65 de chez POLIER est un filtre CPL large bande. Il permet de stopper tout courant CPL (courant porteur en ligne) des différentes bandes CENELEC (CENELEC A Linky, B, C et D) de rentrer et de se propager sur le réseau électrique de votre habitation. Il permet une excellente atténuation du signal CPL de 40 dB (soit 99 % en Tension).

POLIER propose le filtre CPL haute performance PROSTOP qui filtre les ondes des compteurs électriques Linky mais également tous les équipements domestiques.

Ce filtre a un encombrement réduit (4 modules dans le tableau) et convient pour les installations monophasées et triphasées (un filtre par phase).

Il s’installe entre le disjoncteur et le tableau électrique et fait barrage aux ondes qui ne pénètrent plus dans le logement. Toute l’électricité entrant dans la maison ou le local est ainsi nettoyée lors de son passage par le filtre.

 

Informations techniques

Atténuation : 40 dB (99 % en Tension)
Fréquences filtrées : 35 – 150 kHz (CENELEC A Linky, B, C et D)
Intensité maxi : 65 A
Certification – Normes CENELEC : CE – EN 50065-1
Tension de fonctionnement : 110 -270 V
Fréquence de fonctionnement 50 – 60 Hz
Indice de protection : IP51
Durée de vie : 25 ans
Température d’utilisation : -25 / +100 °C
Section Max branchement phase/neutre : 6 – 16 mm²
Couple de serrage 3 +-0.1 Nm
Poids 0.8 kg
Origine : France

Atténuation

Aténuation : -40 dB (99 % en Tension)
Impédence : 2 Ohm
Fc=52 Khz -58 dB
Fc=80 Khz -44 dB
Fc=128 Khz -57 dB

Test effectué par David BRUNO auteur du livre « comment se préserver des pollutions électromagnétiques ».

Normes / Certifications

Le filtre PROSTOP65 a été certifié par l’organisme de certification ENAC/ECA et répond aux normes suivantes :

EN-50065-1 ; EN-60939-2
IEC-60950-1 ; IEC-62052-31 ; IEC-60950-1
2004/108/EC ; 2011/65/UE
UNE-20324 ; UNE-EN-50102 ; UNE-EN-61709
UL-1283
ROHS

Précautions

L’installation du filtre PROSTOP65 fait appel à des compétences manuelles pour le montage et des connaissances en électricité. Avant toute chose, assurez vous d’avoir les compétences, qualifications et le matériel nécessaires pour réaliser le montage en toute sécurité. Pour votre sécurité, l’installation électrique sur laquelle le ou les filtres PROSTOP65 seront branchés doit être conforme à la norme électrique en vigueur dans votre pays. Il est recommandé de faire appel à un électricien professionnel pour exécuter le montage en respectant les règles professionnelles et la norme électrique NF C15-100 (pour la France). Si vous n’êtes pas en mesure de réaliser l’installation en toute sécurité, faites appel à un électricien et si possible un électricien formé à l’électricité biocompatible.

NB : d’autres marques existent. Voir le filtre CPL LINKY Basses Fréquences BIOVOLTS ZEN PROTECT.

Conférence La Conscience Immortelle

by 29 avril 2020

Le Dr Olivier Chambon (psychiatre-psychothérapeute) expose ses idées sur l’après-vie, fondées sur la psychologie, la physique quantique, l’astrophysique, la cosmologie, les sciences de la Conscience, et les récits d’expériences spirituelles.

Il énonce que « tous les rapports d’études scientifiques (expériences de mort imminente, expériences de sortie de corps, communications avec les défunts, etc) concourent à confirmer l’hypothèse que la conscience est indépendante du cerveau, elle se sert du cerveau comme d’un poste émetteur/récepteur pour interagir avec la réalité matérielle… et quand le cerveau meurt, elle rejoint d’autres niveaux vibratoires, d’autres mondes !« .

Nous vous proposons le replay de la webconf qu’il a tenu le 28 avril sur mybebooda.

Olivier Chambon présente ses livres : « La conscience immortelle » (auto-édition Amazon 2019) et « La vie après la mort » qui devrait paraître chez Larousse en septembre 2020.

Fabriquer un gel hydroalcoolique

by 26 avril 2020

En période d’épidémie de virus, il est recommandé de se laver souvent les mains. Si un savon de Marseille classique fait l’affaire lorsqu’on est à la maison, il peut être utile d’avoir un gel hydroalcoolique lorsqu’on est éloigné de la maison.

Fabriquer son gel hydroalcoolique n’est pas compliqué. Il faut se procurer les éléments suivants dans les quantités suggérées :

Ingrédients

  • 833 ml d’alcool (éthanol 96 % ou isopropanol 99,8 %)
  • 41,7 ml d’eau oxygénée (péroxyde d’hydrogène 3 %)
  • 14,5 ml de glycérine (glycérol 98 %)
  • Eau distillée ou bouillie pour compléter

Les quantités indiquées peuvent varier légèrement mais la concentration en alcool doit rester supérieure à 60 % car plus la concentration en alcool est élevée, plus la solution hydroalcoolique sera efficace.

Préparation

  1. Verser l’alcool dans un récipient gradué
  2. Ajouter l’eau oxygénée
  3. Ajouter le glycérol
  4. Compléter avec l’eau distillée restante
  5. Répartir immédiatement la solution dans plusieurs flacons bien fermés pour éviter l’évaporation et étiqueter les flacons.
  6. Attendre au minimum 72 heures avant d’utiliser votre gel hydroalcoolique afin que le péroxyde d’hydrogène agisse.

Fonctionnement

L’alcool tue les virus et bactéries. L’eau oxygénée (péroxyde d’hydrogène) détruit les spores bactériennes potentiellement présentes dans les flacons. Le glycérol agit comme émollient et humectant. A noter que d’autres adoucissants peuvent être utilisés en remplacement du glycérol (par ex de l’aloe vera). Tous ces ingrédients sont disponibles en droguerie ou sur demande en pharmacie.

Subscribe to our newsletter

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Proin porttitor nisl nec ex consectetur.

Erreur : Formulaire de contact non trouvé !