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Top 10 des huiles essentielles

by 13 mai 2018
Il existe de nombreuses huiles essentielles mais s’il fallait faire une sélection des plus utiles à posséder, les 10 suivantes arriveraient probablement en tête :
  1. L’huile essentielle d’arbre à thé (tea tree) : antiinfectieuse polyvalente, essence à large spectre. Très bien pour désinfecter les blessures. Antiviral, antiacarien, antiparasitaire, antifongique et « antifatigue ».
  2. L’huile essentielle de lavande vraie : c’est typiquement l’huile qu’on emporte en vacances. Elle soulage les piqures d’insectes, de guêpe, de méduse… Elle a également des propriétés relaxantes : Une goutte sur l’oreiller et les nuits sont meilleures.
  3. L’huile essentielle de camomille noble : c’est l’huile pour la peau par excellence. Elle calme les inflammations dues à des égratignures, voire à de l’eczéma ou du psoriasis. Elle est antispasmodique, c’est-à-dire qu’on peut la masser sur des crampes d’estomac ou des crampes utérines, dans les cas de règles douloureuses par exemple. C’est elle aussi une grande calmante, elle apaise les stressés, les angoissés et les hyperactifs.
  4. L’huile essentielle de ravinstara : Elle excelle dans la lutte contre toute infection virale ou bactérienne ORL : angine, sinusite, grippe. C’est une excellente expectorante dans les cas de bronchite : mélangez 10 gouttes de ravintsara, 10 gouttes d’eucalyptus radiata, 10 gouttes de niaouli dans 15 ml d’huile végétale, à appliquer 3 fois par jour sur le thorax.
  5. L’huile essentielle de menthe poivrée : permet « d’anesthésier » une zone qui démange (piqûre d’insecte, eczéma…). En massage sur le cou et les tempes, elle soulage les migraines et les maux de tête. Vous pouvez appliquer 1 goutte de menthe et 1 goutte de gaulthérie sur les tempes – mais attention aux yeux. C’est une excellente huile essentielle en massage chez le sportif. Elle soulage aussi les névralgies de type sciatique ou autre. Eviter de l’appliquer trop concentrée sur une grande surface car elle peut créer un effet réfrigérant trop intense.
  6. L’huile essentielle d’hélichryse italienne agit sur les hématomes et les résorbe. Elle est aussi utile pour renforcer les capillaires sanguins qui s’abîment facilement. Mélangez 1 ml d’hélichryse avec 14 ml d’huile végétale ou mieux, de macérât huileux d’arnica et appliquez 2 à 3 fois par jour sur l’hématome.
  7. L’huile essentielle de cyprès peut vous aider si vous avez des problèmes de retour veineux. C’est un décongestionnant veineux et lymphatique qui va redonner de la tonicité à vos veines. Vous pouvez aussi l’utiliser pendant les crises d’hémorroïdes en application locale, 30 gouttes de cyprès, 10 gouttes de gaulthérie, 10 gouttes de menthe poivrée dans 15 ml d’huile végétale, appliquée 3 fois par jour.
  8. L’huile essentielle de basilic exotique est idéale pour les problèmes digestifs, en particulier les ballonnements, les gaz, les crampes digestives ainsi que les nausées. Placez 10 gouttes de basilic pour 15 ml d’huile végétale et massez sur le bas ventre pour calmer les crampes et les ballonnements. C’est un puissant antispasmodique, on peut donc l’employer pour tout type de spasmes : les spasmes gynécologiques, en particulier les règles douloureuses, les spasmes urinaires lors des cystites ainsi que les spasmes musculaires chez le sportif.
  9. L’huile essentielle de gaulthérie couchée est l’une des meilleures antalgiques et anti-inflammatoires pour les douleurs articulaires et musculaires. Pour les douleurs musculaires, placez 20 gouttes de gaulthérie dans 15 ml d’huile végétale et massez le muscle endolori. Pour les douleurs de la polyarthrite rhumatoïde : 20 gouttes de gaulthérie couchée, 20 gouttes de romarin à cinéole et 5 gouttes de laurier noble dans 10 ml d’huile végétale.
  10. L’huile essentielle de géranium rosat est très utile pour tous les problèmes de peau (inflammations, rougeurs…) car elle est tonifiante et astringente. Pour l’eczéma : 1 goutte de géranium, 1 goutte de camomille noble, 1 goutte d’hélichryse pour 97 gouttes de macérât huileux de souci (calendula). Elle éloigne aussi les moustiques. Préparez une huile répulsive pour l’été : 1 ml de géranium rosat, 1 ml d’huile essentielle de citronnelle, 1 ml d’huile essentielle d’eucalyptus citronné pour 40 ml d’huile végétale. Appliquez sur vos bras, jambes et tout autre zone que vous désirez protéger contre les attaques de moustiques.

Activité du cerveau juste après la mort

by 29 avril 2018

Source principale : Article du Figaro par Yves Miserey.

En 2013, des chercheurs ont identifié chez le rat une activité cérébrale très particulière quelques secondes après l’arrêt du cœur. Il arrive parfois que des personnes ayant réchappé à un arrêt cardiaque se souviennent de cet épisode où leur vie a failli s’arrêter comme d’un moment extraordinaire. Ils ont fait ce que l’on appelle une expérience de mort imminente (EMI). Ils seraient entre 10 % et 20 %, selon les enquêtes, à connaître ce type d’événement au cours d’un infarctus. Certaines personnes atteintes de pathologies comme le diabète à l’occasion d’un coma hypoglycémique, la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer rapportent aussi des sensations qui s’apparentent à une EMI.
Les récits diffèrent mais on retrouve toujours les mêmes scénarios. Certains ont eu l’impression très forte qu’ils étaient morts, d’autres ont le souvenir d’avoir traversé un tunnel entièrement noir ou d’avoir aperçu une immense lumière. Quelques-uns rapportent avoir revu des proches déjà morts et alors que d’autres ont eu le sentiment d’avoir quitté leur corps et d’avoir pu l’observer comme s’ils l’avaient déjà quitté. Tous se souviennent d’avoir ressenti les choses de manière beaucoup plus vive et éclatante que dans la vie de tous les jours avec un sentiment de sérénité et de paix totales. Certains croyants y voient la preuve de l’immortalité de l’âme, les sceptiques en doutent mais n’ont pas d’explication.
 
Depuis quelques années, les témoignages d’expériences de mort imminente s’accumulent et les scientifiques ne peuvent plus les ignorer. Les recherches pour essayer de comprendre le phénomène lui-même à l’intérieur du cerveau ne font que commencer. Pour y parvenir, il faudra bien un jour installer des électrodes sur le cerveau de plusieurs mourants. On n’en est pas là. En attendant, une expérience de laboratoire conduite sur des rats apporte un nouvel éclairage sur cette question. Elle montre en effet que durant les quelques secondes qui suivent l’arrêt cardiaque (la mort clinique), le cerveau connaît une activité, plus intense par certains aspects qu’à l’état de veille. Du coup, les auteurs de l’étude publiée cette semaine dans les PNAS se demandent si cette activité cérébrale post mortem pourrait être à l’origine des expériences de mort imminente.
Entre le moment où le cœur s’arrête et cesse d’apporter de l’oxygène au cerveau et le moment où le cerveau arrête de fonctionner (la mort cérébrale), il se passe approximativement une trentaine de secondes. Sans surprise, durant cette très courte période, l’équipe pilotée par Jimo Borjigin, de l’université du Michigan, a enregistré sur les encéphalogrammes de neuf rats en train de mourir un ralentissement de l’activité électrique du cerveau. Mais en même temps, ils ont observé une augmentation des fréquences cérébrales bien particulières: les oscillations gamma associées à un haut degré de conscience qui ont été mesurées par exemple chez des nonnes en prière ou des moines bouddhistes en méditation. Les oscillations gamma sont aussi présentes dans des moments marqués par une acuité et une sensibilité visuelle accrues. Ils s’appuient sur cette coïncidence pour faire le parallèle avec les expériences de mort imminente.
 
Les rats équipés d’électrodes sur différentes parties du cerveau avaient été anesthésiés avant d’être empoisonnés, leur activité cérébrale étant enregistrée avant l’anesthésie et leur sacrifice.
« L’étude est extrêmement intéressante et la méthode rigoureuse, indique Steven Laureys, de l’université de Liège, spécialiste reconnu du coma qui s’intéresse de près à l’EMI. Elle montre bien que l’activité cérébrale enregistrée juste après la mort n’est pas chaotique et qu’il y a une parfaite connectivité entre les différentes parties du cerveau. » Il admet volontiers qu’il est difficile de traduire ces observations animales chez l’humain, mais relève que les scientifiques reconnaissent désormais que, contrairement à ce que pensait Descartes, les animaux ont comme l’homme une forme de conscience.
 
Les expériences de mort imminente intéressent désormais les scientifiques et ne sont plus boudées par la recherche. Deux exemple :
– L’équipe pilotée par Steven Laureys, de l’université de Liège, qui a collecté des témoignages de personnes ayant connu une EMI. « Deux doctorants se sont consacrent entièrement à cette tâche. Un contact par email permettait de les contacter : coma@ulg.ac.be
– Une équipe conduite par Sam Parnia, un des grands spécialistes de l’EMI, a lancé en 2008 un programme visant à analyser les témoignages de patients afin de savoir s’ils ont eu une perception extracorporelle en rapport avec la réalité au cours de leur expérience de mort imminente. Vingt hôpitaux sont associés à ce programme baptisé « Awareness during rescucitation » (état de conscience pendant la réanimation). Parnia et d’autres chercheurs pensent que le cerveau sert de medium à l’activité de l’esprit mais ne le produit pas, ce qui pourrait expliquer les NDE.
 
Pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans leur recherche, le calendrier de désincarnation astrale où l’esprit quitte le corps a été capturé par le scientifique russe Konstantin Korotkov, qui a photographié une personne au moment de sa mort avec une caméra bioélectrographique (procédé GDV). « Nous avons reçu des données provisoires montrant que dans certains cas, quelques jours avant la mort on observe une augmentation de l’activité du patient et une augmentation de l’intensité de décharge de gaz. Ces données peuvent fournir de nouvelles informations sur le processus de transition vers une autre vie. ». L’article est disponible sur ce lien

Autisme et TDHA

by 28 avril 2018

Un rapport gouvernemental publié jeudi 26/04/2018 indique que le taux d’autisme aux Etats-Unis a grimpé pour atteindre un enfant sur 59 contre un enfant sur 68 selon de précédentes estimations. Ce problème devenant donc un problème « urgent » de santé publique. A ce jour, des dizaines de millions d’enfants souffrent d’un trouble du déficit de l’attention ou d’hyperactivité (TDHA) ou encore d’autisme. La prévalence de l’autisme aux Etats-Unis était seulement de 1 sur 5.000 en 1975 et n’a cessé de monter ces dernières années, augmentant de 150% depuis l’an 2000, ont ajouté les CDC. En général, les enfants qui souffrent de ces troubles sont très intuitifs et très créatifs.

Les scientifiques ont cru, un temps, que le TDHA ou l’autisme étaient liés à une mauvaise écologie intestinale en encore de la présence du candida… C’est en réalité l’arbre qui cache la forêt. A ce jour, les médecins ignorent encore tout du phénomène de l’autisme.

Selon Anthony William, dans son libre Medical Medium, l’autisme serait dû aux métaux lourds présents dans le cerveau.

Un enfant peut recevoir du mercure par sa mère in utero. Le mercure aurait la propriété de se transmettre de génération en génération. De plus, nous sommes très exposés de nos jours aux métaux lourds. Les canettes de boissons sucrées sont fabriquées en aluminium par exemple. Le papier alu est très utilisé en cuisine pour protéger les aliments. On en trouve aussi dans le bâtiment. Le mercure et l’aluminium sont également présents dans les pesticides, les fongicides et les herbicides…

On en trouve dans les amalgames dentaires. Ne parlons même pas des vaccins et de leurs adjuvants.

Anthony William annonce que le mercure et de l’aluminium sont particulièrement présents au niveau du sillon médian du cerveau (fissure qui sépare les deux hémisphères). A cet endroit il y a un échange énergétique entre les deux hémisphères favorisant l’échange d’informations.

Un métal toxique situé dans ce sillon bloque donc les transmissions électriques et énergétiques entre les hémisphères, obligeant le cerveau à « s’adapter ». C’est comme si on tentait de bloquer un cours d’eau – l’eau empruntera un autre chemin. De ce fait, l’enfant se met donc à utiliser des zones cérébrales particulières car les influx nerveux stimulent ces zones. Les enfants atteints de TDAH et d’autisme développent des neurones spéciaux, essentiellement au niveau du lobe frontal et au niveau du système limbique dont le rôle est de traiter les émotions, les désirs et les comportements.

Avant l’âge de 18 ans, il est plus facile de chasser les métaux lourds par une alimentation particulière. Vers l’âge de 18 ans, le sillon médian se referme et les deux hémisphères se rapprochent l’un de l’autre.

Actuellement les médecins peuvent prescrire des amphétamines mais il semble que sur le long terme, cela fatigue les surrénales et donc provoque une extrême fatigue et une forte anxiété.
Ces enfants peuvent réclamer une alimentation « riche » en sucre ou en calories.  C’est parce que son cerveau réclame du glucose.

Anthony William préconise de limiter très fortement le gluten ainsi que les aliments et aditifs toxiques : mais, , huile de colza, glutamate de sodium et aspartame. Dans la liste ci-dessous, certains produits seront très utiles pour chasser les métaux lourds et autres toxines, réparer les tissus cérébraux et favoriser les échanges neuronaux, fournir du glucose au cerveau et calmer le mental : myrtilles sauvages, coriandre, huile de noix de coco, céleri, bananes, mûres, avocats, fraises et graines de lin. Il préconise de bannir la « malbouffe » et de manger régulièrement :

  • Spiruline : élimine les métaux lourds. Participe à la création de nouveaux neurones et renforce les neurotransmetteurs.
  • Vitamine B12 (sous forme de méthylcobalamine et/ou d’adénosylcobalamine) : fortifie le cerveau et le système nerveux central.
  • Ester-C : forme de vitamine C qui participe à la réparation des neurotransmetteurs et stimule les surrénales. Purifie le foie et chasse les toxines.
  • Zinc : fortifie le système endocrinien (surrénales, thyroïde et thalamus) et favorise l’action des neurotransmetteurs.
  • Mélatonine : calme l’inflammation cérébrale et participe à la réparation des neurones.
  • Mélisse : calme l’inflammation et apaise le système nerveux central. Tue les virus, bactéries et champignons irritant le système digestif et provoquant des allergies alimentaires.
  • Magnésium : favorise la pensée, l’apprentissage, la mémoire, la lecture et la parole. Calme le système nerveux.
  • Gingko biloba : chasse le mercure du cerveau et apaise l’inflammation.
  • GABA (ou acide y-aminobutyrique) : fortifie les neuropeptides et les neurotransmetteurs et calme le système nerveux central.
  • Vitamine B : Nourrie le cerveau et le tronc cérébral
  • Ginseng : fortifie les surrénales
  • Probiotiques (de qualité) : stabilisent le système digestif, renforçant la fonction immunitaire.
  • EPA (acide eicosapentaénoïque et le DHA (acide docosahexaénoîque) d’origine végétale: participent à la réparation des neurones.

Pour approfondir, voici un article à lire extrait de la revue « Soignez-vous! » de septembre 2002 (numéro 26). Publication bimensuelle (Editeur : DIP / Santé Port Royal). Conseil éditorial : Michel Dogna, Laurence Deguel, Alain Dumait, Alexandre Imbert.

Molluscum

by 5 avril 2018

Le molluscum contagiosum est une maladie de la peau fréquente, notamment chez les enfants. Elle affecterait environ 13 enfants sur 1000 chaque année, selon une étude publiée en 2014.

Le molluscum contagiosum est une infection virale due à un poxvirus de la même famille que la variole. Cette maladie se manifeste sur le corps sous la forme d’un ou plusieurs petits boutons durs (excroissance), translucides, avec un point central. Ces boutons ont la forme de demi-sphères, posées sur la peau.

Les symptômes apparaissent en général entre 2 à 6 semaines après l’exposition au virus. Les boutons peuvent se trouver sur toutes les parties du corps à l’exception de la paume des mains et la plante des pieds. En général, les zones les plus touchées sont le cou, les aisselles, les flans, les cuisses, les fesses, les parties génitales et le visage.

Le molluscum contagiosum n’est jamais grave, pas plus chez les enfants que chez les adultes. On en guérit de manière spontanée mais cela requiert parfois un traitement ou assurément une hygiène stricte pour éviter sa propagation car le virus est très contagieux. La personne qui en est atteinte peut contaminer d’autres zones de sa peau, en se grattant par exemple, mais aussi son entourage. Pour limiter les risques, il convient simplement de couvrir les boutons avec des vêtements longs ou du sparadrap pour éviter la contamination d’autres membres de la fratrie, par exemple. De même, on n’échangera pas les gants et serviettes, etc.

S’il est bénin, le molluscum est cependant difficile à traiter. La médecine conventionnelle proposera souvent un curetage, de la cryothérapie ou du laser mais cela laisse des cicatrices et ne règle pas fondamentalement le problème de fond qui est lié à un virus et celui-ci n’est pas seulement localisé dans les vésicules à la surface de la peau. De plus les deux premières techniques sont assez douloureuses.

Les lésions finiront par s’en aller spontanément chez les personnes dont le système immunitaire fonctionne correctement mais cela peut prendre du temps, plusieurs mois, voire un ou deux ans. Le molluscum contagiosum disparaîtra de lui-même, de trois façons différentes :

  • progressivement, sans que le patient ne le remarque,
  • en créant une plaque d’eczéma inflammatoire autour de la lésion, qui finira par se résorber,
  • en devenant inflammatoire, comme un furoncle, qu’il faudra désinfecter pendant quelques jours.

L’approche homéopathique pourrait être, sur une durée de 1 mois :

  • Vaccinotoxinum 15 CH, une dose par semaine (ou 10 granules si vendu en tube).
  • Si les lésions sont plutôt localisées à droite : Lycopodium 9 CH (même posologie. Une dose par semaine)
  • Si les lésions sont plutôt localisées à gauche, Thuya 9 CH (même posologie. Une dose par semaine)
  • S’il n’y a pas de latéralité, Medorrhinum 15 CH (même posologie. Une dose par semaine)

Pour traiter la lésion en elle-même :

  • Dulcamara 5CH, 3 granules matin et soir.
  • Si elle est rougeâtre, Cinnabaris 5 CH, 3 granules matin ou soir.

Compléter avec de l’aromathérapie :

Localement, on peut mettre de l’huile essentielle de Tea Tree diluée dans de l’huile de calendula (tester au préalable 1 goutte au pli du coude pour éviter une réaction allergique) pour ses propriétés antiseptiques. C’est une huile essentielle efficace et bon marché.

Pour booster les défenses immunitaires et créer un environnement défavorable au virus :

Correcteur d’Etat Fonctionnel n°1 série bleue, du matin jusqu’à environ 16H puis Correcteur d’Etat Fonctionnel n°2 série bleue pour détoxifier, le reste de la journée. L’idéal serait aussi d’utiliser un CEF comme Amarante. On trouve ces CEF sur des boutiques en ligne comme Green Nature.

Traiter le stress

by 18 mars 2018

Le stress est une réaction physiologique naturelle de notre organisme. Le stress permet de mobiliser nos ressources face à une tâche à accomplir ou un danger à affronter.
 
Normalement ponctuel, il est de plus en plus présent dans nos sociétés, à mesure que notre rythme de vie s’accélère. Un stress permanent devient alors néfaste, et se traduit par des symptômes tels que des difficultés de concentration, irritabilité…

A terme, il peut entraîner des troubles psychiques et physiques importants, comme des troubles du sommeil, de l’appétit, des perturbations cardiaques, des douleurs abdominales, des problèmes de peau ainsi qu’un pessimisme global, une dévalorisation voire une autoaccusation. En outre, des comportements se trouvent associés comme un isolement social, une agressivité, une susceptibilité, une intolérance à la frustration et une fatigabilité.

Points de pression

Avec les points de pression, ou en acupuncture, on peut soulager le stress en traitant les points suivants à droite et à gauche :

  • VG20 : au sommet du crane, sur la ligne reliant le sommet des oreilles
  • GI4 : au creux de l’angle du pouce et de l’index
  • MC6 : à deux doigts au dessus du pli du poignet
  • C7 : sur le pli du poignet du coté de extérieur (du coté de l’auriculaire)
  • C3 : au pli du coude, face interne

L’anxiété, quant à elle, est plus apparentée à une peur diffuse, un stress permanent face une situation ou un environnement particulier. Elle est souvent bénigne, mais il peut exister une forme pathologique : le trouble anxieux généralisé (TAG).

Celui-ci se traduit par une anxiété permanente face à l’avenir, une peur systématique de l’imprévu. Impossible pour la personne de se réjouir face à un événement positif futur, elle appréhende toujours un imprévu. Environ 2 à 5 % de la population serait concernée. Ce TAG peut évoluer vers une dépression s’il n’est pas traité.

Indépendamment du TAG, l’anxiété peut être un symptôme de troubles plus importants : troubles obsessionnels compulsifs, phobies (notamment phobie sociale…).

Là encore, des points de pression peuvent aider à nous soulager :

  • C9 : sur le coin de l’ongle de l’auriculaire, coté annulaire
  • MC9 : sur le coin de l’ongle du majeur, coté index
  • MC7 : au milieu du pli du poignet (intérieur)
  • TR10 : au dessus de la pointe du coude
  • V62 : sous la cheville, face externe

Ces points restent accessibles discrètement et peuvent être stimulés même lorsqu’on est au travail. 

Pour rappel :

  • VG : Vaisseau Gouverneur, qui part de la point du coccyx et qui se termine sous le nez au « point de vie et de mort »
  • GI : Méridien du Gros Intestin, qui débute au coin de l’ongle de l’index et qui se termine au coin du nez
  • MC : Méridien du Maître du cœur, qui part au dessus du mamelon pour se terminer au coin interne de l’ongle du majeur
  • C : Méridien du cœur, qui débute sous l’aisselle pour se terminer au coin interne de l’ongle de l’auriculaire
  • TR : Triple Réchauffeur, qui débute au coin externe de l’ongle de l’annulaire et qui se termine à l’extrémité externe du sourcil
  • V : Méridien de la Vessie, qui débute au coin interne de l’œil, va derrière le crane, puis se sépare en deux branches dans le dos pour se terminer au 5e orteil.

Les huiles essentielles

Les huiles essentielles peuvent apporter aussi une aide précieuse. Une étude [Lehrner & al, 2000] a montré que la diffusion d’huiles essentielles d’orange (citrus sinensis) aidait les patients à déstresser dans la salle d’attente d’un cabinet dentiste. Une autre étude de [Tisserand, 1988] a montré qu’en hôpital, les huiles essentielles de lavande, marjolaine, géranium, mandarine et cardamome étaient aussi efficaces pour faire dormir les patients insomniaques que les médicaments sédatifs classiques. En Irlande, une étude menée en double aveugle dans un service de neurologie en long séjour, a montré que les patients atténuaient leur anxiété et leur détresse psychologique grâce aux huiles essentielles de lavande, arbre à thé et romarin. Pour les adolescents, qui subissent évidemment un changement hormonal à mesure qu’ils deviennent adultes, les huiles essentielles ont aussi prouvé leur efficacité. La camomille romaine et la marjolaine sont bien connues pour leur pouvoir antistress. En complément, la menthe poivrée peut aussi aider pour lutter contre la fatigue en période d’examen. Le laurier noble peut aussi accroître l’assurance le jour de l’examen. Le basilic exotique améliore le tonus cérébral. La rose possède aussi un pouvoir sédatif et antistress. L’hydrolat de rose de Damas est également indiqué dans les manifestations émotionnelles négatives (colère, dépression, abattement, agressivité, …). Ce dernier est plus accessible financièrement.  L’huile essentielle de lavandin (ou lavandin super) favorise un sommeil naturel et réparateur. Elle est également cicatrisante pour la peau. En diffusion pour ses vertus antistress, elle donne de bons résultats. Le réflexe antistress est probablement le petit grain bigarade : Appliquer une goutte sur la face interne du poignet 2 à 3 fois par jour. Respirez profondément en rapprochant vos poignets de votre visage. Dans les formules ci-dessous, on utilisera le terme HE pour huile essentielle et HV pour huile végétale. Une formule plus complète pour le stress, en diffusion 30 mn le matin et 30 mn le soir dans les pièces à vivre : 10 gouttes de chacune de ces HE :

  • HE petit grain bigarade
  • HE ylang-ylang
  • Essence Orange douce
  • HE lavande officinale

Pour lutter contre l’anxiété, vous pouvez essayer cette préparation. Mélanger en même proportion :

  • HE néroli
  • HE marjolaine des jardins
  • HE camomille romaine
  • HE ylang-ylang-ylang

Appliquer ce mélange 3 fois par jour sur la voûte plantaire, sur la face interne des poignets et sous la langue. La nervosité, l’agitation ou l’excitation provoquent une dépense énergétique importante et donc fatigante. Un tel état peut être apaisé avec la formule suivante :

  • HE lavande officinale (1 goutte)
  • HE camomille romaine (1 goutte)
  • Essence de mandarine (1 goutte)
  • HV calophylle (3 gouttes)

Appliquer ce mélange 3 fois par jour sur le plexus solaire, la voûte plantaire, la face interne des poignets et éventuellement sur la langue. En cas de choc émotionnel, masser lentement le plexus solaire avec 3 gouttes de camomille romaine. Une formule plus complète peut être préparée avec les HE suivantes, en proportions identiques :

  • HE camomille romaine
  • HE rose de damas
  • HE menthe poivrée
  • HE nard de l’Himalaya
  • HE marjolaine des jardins

Appliquer cette préparation en massages légers sur le plexus solaire, le plexus cardiaque, le plexus sacré et sur la face interne des poignets. Contrôler la respiration. L’hypertension, la tachycardie ou les palpitations sont des conséquences du stress. Elles peuvent être apaisées par une alimentation équilibrée, du sport régulier, une bonne respiration ventrale et par un mélange d’huiles essentielles. L’Ylang-Ylang a des propriétés antifatigue, antalgique, régulatrice cardiaque (tachycardie par exemple), elle ralentit la chute des cheveux lorsque mélangée à un shampoing. Elle aide aussi en cas d’attaque de panique. Vous pouvez préparer le mélange ci-dessous pour une diffusion dans la pièce à vivre, par exemple, 1H le matin et 1H le soir :

  • HE lavande officinale (5 ml)
  • HE ylang-ylang (5ml)
  • HE verveine citronnée (5ml)

A noter qu’il existe aussi des synergies déjà prêtes comme la Synergie Détente chez Green Nature.

Les CEF

Cette formidable invention russe est de plus en plus connue en Europe. Elle consiste à créer un environnement vibratoire particulier. Il existe de nombreux modèles de CEF (plus de 90), chacun adapté à une problématique. Certains sont adaptés pour gérer le stress, par ex, le CEF n°16 de la série mauve « Espace Propre« , le CEF n°13 « Mental sain » de la série mauve, le « Source de Lam » de la série exclusive, le « Zdrava » de la série collection ou même le CEF basique n°2 « Détox » de la série bleue. Un CEF est inusable et fonctionne sans pile. Un très bon investissement car on peut le prêter à ses proches. 

Enfin, si toutes ces astuces peuvent vous aider, n’oubliez pas que si vous ressentez un stress régulier, c’est qu’il faut peut être changer quelque chose dans votre vie ou apprendre à gérer ce stress. Pensez donc aussi à la sophrologie, yoga, magnétisme ou tout simplement à évacuer le stress par une bonne activité sportive. 

Bibliographie

[Lehrner & al., 2000] Lehrner J, Eckersberger C, Walla P, Potsch G, Deecke L, 2000, Ambient odor of orange in a dental office reduces axiety and improves mood infemale patients. Physiol Behav. 71(1-2):83-6.
[Tisserand, 1988] Tisserand R, 1988, Lavender beats benzodiazepines. International journal of Aromatherapy. 1(1) 1-2.
[Walsh & Wilson, 1999] Walsh E, Wilson C, 1999, Complementary therapies in log-stay neurology in-patient settings. Nurse Stand. 13:32-5.

Bibliographie sur les huiles essentielles

by 26 janvier 2018

Articles scientifiques

  • In vitro antibacterial activity of some plant essential oils, Seenivasan Prabuseenivasan, Manickkam Jayakumar, and Savarimuthu Ignacimuthu, BMC Complement Altern Med. 2006;6: 39.
  • Acaricidal activities of some essential oils and their monoterpenoidal constituents against house dust mite, Dermatophagoidespteronyssinus (Acari: Pyroglyphidae), El-Zemity Saad, Rezk Hussien, Farok Saher, and Zaitoon Ahmed, J Zhejiang Univ Sei B. 2006 December; 7(12): 957-962.
  • In vivo activity of terpinen-4-ol, the main bioactive component of Melaleuca alternifolia Cheel (tea tree) oil against azole-susceptible and -resistant human pathogenic Candida species, Francesca Mondello, Flavia De Bernardis, Antonietta Girolamo, Antonio Cassone, and Giuseppe Salvatore, BMC Infect Dis. 2006; 6: 158.
  • The natural compound n-butylidenephthalide derived from Angelica sinensis inhibits malignant brain tumor growth in vitro and in vivo, Nu-Man Tsai, Yi-Lin Chen, Chau-Chin Lee, Po-Chen Lin, Yeune-Leune Chene, Wen-Liane Chane, Shinn-Zone Lin, and Horne-Jyh Flarn, J Neurochem. 2006 November; 99(4): 1251-1262.
  • Essential oil of Actinidia macrosperma, a catnip response kiwi endemic to China, Yun-peng Zhao, Xiao-yun Wang, Zhi-can Wang, Yin Lu, Cheng-xin Fu, and Shao-yuan Chen, J Zhejiang Univ Sei B. 2006 September; 7(9): 708-712.
  • Comparison of transcripts in Phalaenopsis bellina and Phalaenopsis equestris (Orchidaceae) flowers to deduce monoterpene biosynthesis pathway, Yu-Yun Hsiao, Wen-Chieh Tsai, Chang-Sheng Kuoh, Tian-Hsiang Huang, Hei-Chia Wang, Tian-Shung Wu, Yann-Lii Leu, Wen-Huei Chen, and Hong-Hwa Chen, BMC Plant Biol. 2006; 6: 14.
  • Suppression of Carrageenan- and Collagen Il-Induced Inflammation in Mice by Geranium Oil, Naho Maruyama, Hiroko Ishibashi, Weimin Hu, Shinichiro Morofuji, Shigeharu Inouye, Hideyo Yamaguchi, and Shigeru Abe, Mediators Inflamm. 2006; 2006(3): 62537.
  • Melaleuca alternifolia (Tea Tree) Oil: a Review of Antimicrobial and Other Medicinal Properties, C. F. Carson, K. A. Hammer, and T. V. Riley, Clin Microbiol Rev. 2006 January; 19(1): 50-62.
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Livres

  • Ma bible des huiles essentielles, Danièle Festy, Edition Leduc, 2008, ISBN : 978-2848992426
  • Mes 1000 ordonnances huiles essentielles, Danièle Festy, Edition Leduc, 2017, ISBN : 979-1028502911
  • Le grand livre des huiles essentielles pour les nuls, Elske Miles, First Editions, 2016, ISBN : 978-2-7540-9029-2
  • Le guide terre vivante des huiles essentielles, Francoise Couic Marinier et Anthony Touboul, Terre Vivante Editions, 2017, ISBN : 978-2-36098-275-2
  • L’aromathérapie énergétique, guérir avec l’âme des plante, Lydia Bosson, Editions Amyris, 2011, ISBN : 978-2-9303-5386-9
  • Les huiles essentielles, médecine d’avenir, Docteur Jean-Pierre Willem, Éditions du Dauphin, 2002. ISBN : 978-2716312066
  • La bible Larousse des huiles essentielles, Thierry Folliard, Larousse, 2016, ISBN : 978-2035925374
  • La science des huiles essentielles médicinales, Pierre Franchomme, Tredaniel Ed., Collection A la pointe de l’aromathérapie, 2015, ISBN : 978-2813207630
  • Traité d’aromathérapie scientifique et médicale – Les huiles essentielles – Fondements et aides à la prescription, Michel Faucon, Sang de la Terre Ed., 2017, ISBN : 978-2869853447
  • Huiles essentielles chémotypées et leurs synergies, Aromathérapie scientifique,  Dr. Abdesselam Zhiri et Dominique Baudoux, Edition Inspir Development, ISBN : 2-919905-27-9
  • Dictionnaire Complet d’Aromathérapie, J-P Zahalka, Editions Dauphin, ISBN : 978-2716316170
  • Le guide de l’olfactothérapie: Les huiles essentielles pour soigner notre corps et accompagner nos émotions,  R.Mary, C.Béhar, J-C. Sommerard, G. Gérault, Albin Michel Editions, 2011, ISBN :  978-2226230737
  • Guide pratique d’aromathérapie chez l’animal de compagnie, D.Baudoux et P.Debauche. Amyris Editions, 2012, ISBN : 978-2875520036
  • Soigner ses enfants avec les huiles essentielles, Danièle Festy, Edition Leduc, 2009, ISBN :  978-2848992952
  • Aromathérapie, 100 huiles essentielles, Dominique Baudoux, DUNOD, 2017, ISBN : 978-2-10-0-75455-7

Revues

  • Plantes & santé (www.plantes-et-sante.fr)

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